L’école ne nous apprend pas qu’à compter est une création théâtrale pensée pour être jouée en salle ou en milieu scolaire, avec pour ambition de donner la parole aux jeunes garçons et de les accompagner dans la construction d’une identité affranchie des injonctions virilistes.

Dans un paysage éducatif et culturel où les représentations masculines restent souvent limitées, le spectacle propose un récit sensible et introspectif, qui ouvre des pistes de réflexion sur les modèles, les émotions, les doutes, les fragilités. Il cherche à faire émerger des formes alternatives de masculinité, en réponse à un besoin urgent exprimé par les éducateurs, les professionnels de terrain et les jeunes eux-mêmes.

À travers un dispositif de médiation inclusif, les représentations pourront être prolongées d’ateliers de discussion, d’échange ou d’écriture, pour nourrir une parole libérée autour de l’identité, du genre et des émotions.

Public visé : tous publics à partir de 10 ans, avec une attention particulière portée aux adolescents, dans ou hors cadre scolaire.

En posant la question : “qu’est-ce qu’être un garçon aujourd’hui ?”, ce spectacle veut offrir à chacun la liberté de devenir pleinement lui-même sans devoir se plier à la “masculinité obligatoire”, ni taire ses émotions, ni rejeter l’autre.

En accompagnant  L’école ne nous apprend pas qu’à compter, le Fonds de dotation Francis Kurkdjian soutient une création qui interroge la masculinité, ouvre un espace de réflexion et de libération émotionnelle auprès des jeunes garçons, et défend un théâtre émancipateur.